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Bas-Saint-Laurent

Portrait de Catherine Duval-Guévin

Âge : 30 ans

Pronom : Elle/elle

Occupation (Activité principale) : Enseignante au primaire et au préscolaire

Municipalité : Rimouski

MRC : Rimouski-Neigette

Photo : Monika Bourgeois


Biographie :

Habituée des Journées de la culture, j’en suis déjà à ma 3e année en tant que porte-parole. J’habite Rimouski depuis 10 ans. L’une des choses que j’ai rapidement appréciées ici, dans le Bas-Saint-Laurent, c’est l’accueil que j’ai reçu lorsque je me suis impliquée dans différents organismes culturels. Je suis tombée amoureuse de l’endroit, du fleuve, des gens et de la facilité à créer et à mettre en place des projets, qui m’ont permis de rencontrer une multitude d’artistes et d’amis.

J’adore la culture et je pratique plusieurs types d’art avec passion. Je joue du piano depuis mon enfance. J’ai participé à de nombreux concours en tant qu’auteure-compositrice et interprète. J’ai fait le programme Musique Jazz-pop au cégep de Rimouski et j’enseigne maintenant cette discipline. J’aime également l’improvisation théâtrale, et fais partie de nombreuses ligues de la région (LIR, LIE, LIEC, etc.). J’ai participé à deux tournées en Europe et à de nombreux tournois à travers le Québec, et j’ai été entraineuse à différents niveaux scolaires. J’aime aussi le théâtre, discipline qui m’a amené à monter sur scène à plusieurs reprises. Finalement, j’ai été comédienne dans la série télévisée humoristique En Rafale à l’été 2023, une expérience qui m’a permis d’apprivoiser ce milieu.

Je suis curieuse et ouverte d’esprit. J’adore essayer de nouvelles choses. Je suis membre de plusieurs organismes culturels, dont l’apport à la société est, selon moi, primordial. J’adore faire preuve de créativité dans la naissance de différents projets et œuvres que je mets sur pied. Je suis aussi membre fondatrice de la coopérative Bains Publics – Cabaret culturel, une salle de spectacle qui permet de faire rayonner le talent des artistes émergents dans la région de Rimouski tout en dynamisant le centre-ville.


Que représente la collectivité pour vous ? Comment la définiriez-vous ?

Pour moi, ce sont des personnes qui partagent l’envie et le désir d’embellir le monde qui les entoure. On peut souhaiter participer dans notre collectivité à plusieurs niveaux, et je crois que chaque petit geste compte.

Comment vous impliquez-vous dans votre collectivité ?

Je le fais à différents niveaux. Tout d’abord, je donne souvent beaucoup de mon temps de façon bénévole pour voir naître des projets auxquels je crois comme Les Bains Publics ou encore la Ligue d’Improvisation en Construction (une troupe régionale qui expérimente plusieurs concepts d’impro autres que les matchs). Je donne également de mon temps pour soutenir des causes qui me tiennent à cœur comme celles de La débrouille, de l’AFAR, de la LIR et d’autres organismes. S’impliquer dans sa collectivité, c’est créer des opportunités afin de collaborer avec d’autres organismes dans le but de rêver à un meilleur futur tous ensemble.

Quel élément de la vie culturelle de votre région fait votre fierté ?

Le Bas-Saint-Laurent, c’est un très petit bassin de population comparé à d’autres régions du Québec. Ce qui me rend fière, c’est que nous n’avons rien à envier à personne. Notre collectivité bas-laurentienne est tissée serrée, et c’est ce qui permet la naissance de magnifiques projets collectifs. Il y a toujours de la place pour de nouveaux projets et les gens sont très ouverts à aller à la rencontre de l’autre. Je suis fière de ce petit bassin d’artistes qui fait de grands projets. 

Quel est votre premier souvenir des Journées de la culture ?

Je me souviens que pendant mon stage comme enseignante, les jeunes de mon école ont chanté De la terre jusqu’au courant des Sœurs Boulay (la Chanson à l’école). C’était en 2017, mais je me souviens encore de ce petit spectacle.

Il y a trois ans, on m’a contacté pour devenir porte-parole des Journées de la culture. J’ai alors découvert leur ampleur, partout au Québec.