Quatre artistes montréalaises se livrent un combat artistique devant public. Vous pourrez assister à la création d’œuvres d’art peintes en direct. Observez les techniques et les méthodes de ces quatre artistes chevronnés. 

Qui sont les artistes que vous pourrez voir à l’œuvre ? 

Annah Marshall est une artiste multidisciplinaire, scénographe et designer de mode. Autrefois engagée comme costumière, chapelière, puis patroniste pendant plus de 20 ans. Elle enseigne maintenant les arts plastiques au secondaire. 

Déclaration de l’artiste

« Je trouve mon inspiration dans l’ombre pour faire rejaillir la lumière sous toutes ses formes abstraites et vibrantes. Je suis transportée par la musique en continu, comme sur une piste de danse sur laquelle s’entrelacent le rythme et la spontanéité avec sensualité. Je peins sans objectif précis, guidée par mes émotions et sensations du moment. »

Née à Paris et lachinoise d’adoption. Gaëlle Eber a suivi une formation artistique tout au long de son parcours scolaire. Peintre et pastelliste, elle aime passer du paysage au portrait, qu’elle dépeint selon son humeur et le temps qu’il fait. Les berges de Lachine et les personnages qui l’habite l’inspire, de la bernache aux roseaux, de la marcheuse aux cyclistes.

Nadine Samuel

Nadine Samuel est une artiste peintre avec un profil entrepreneurial depuis plus de 25 ans. Avec sa compagnie, Productions Rekréative, elle tient la barre des compétitions mensuelles de peinture en direct Art Battle Canada à Montréal, depuis 10 ans. Elle a aussi fondé La Ligue d’improvisation Picturale de Montréal. OSBL. Elle a récemment terminé une formation à l’institut Grasset en réalité virtuelle et augmentée et elle a précédemment mené une diversité de projets collaboratifs et de team building en arts visuels, auprès de nombreuses clientèles, entre autres au Pérou et en Haïti avec son organisme AATSS (Association des Art Thétapeutes Sans Frontières).

 Véronique Poirier 

Artiste peintre autodidacte, créatrice d’événements culturels et formatrice, originaire de la Gaspésie. Tout son travail s’articule autour de la question du vivant ; en empruntant toujours le chemin du langage intérieur. Il ne s’agit donc pas simplement pour elle d’illustrer la place de l’être humain dans la nature, mais bien plus encore celle de la nature dans l’être humain.